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« On ne dispose d’aucun retour d’expérience sur les risques » : ce projet industriel XXL inquiète

  • Photo du rédacteur: Chloé Giradot-Moitié
    Chloé Giradot-Moitié
  • 30 oct.
  • 1 min de lecture

Ouest-France le 30 octobre 2025


Lancé par trois groupes industriels émettant massivement des gaz à effet de serre, le projet GOCO2, visant à capter et à stocker le dioxyde de carbone (CO2) rejeté dans l’air, suscite de nombreuses interrogations mais aussi quelques craintes. Un large tronçon des 375 kilomètres de canalisations nécessaires au programme passera par la Loire-Atlantique.

Chloé Girardot-Moitié : « Le projet est arrivé sur la table depuis un peu plus d’un an. Pour l’heure, on n’a pas de vision précise ne serait-ce que du tracé retenu pour les canalisations qui transporteront le CO2 capté par les industries impliquées dans le programme. Or, il y a des points critiques pour notre territoire, comme le passage de ces canalisations sous la Loire. Il va falloir suivre ce dossier de près : la Loire-Atlantique est le deuxième département en termes de zones humides ».

                               





Lancé par trois groupes industriels émettant massivement des gaz à effet de serre, le projet GOCO2, visant à capter et à stocker le dioxyde de carbone (CO2) rejeté dans l’air, suscite de nombreuses interrogations mais aussi quelques craintes. Un large tronçon des 375 kilomètres de canalisations nécessaires au programme passera par la Loire-Atlantique.


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