Revue de presse - Ouest-France - Publié le 23 juin 2023
Le Département de Loire-Atlantique (de gauche) justifie, une nouvelle fois, pourquoi il n’a pas souhaité payer pour recevoir la flamme olympique avant les JO 2024 à Paris.
« Trop cher ». Et cela ne reflétait pas « les valeurs de l’olympisme ». Le conseil départemental de Loire-Atlantique, par la voix de Louise Pahun, sa vice-présidente en charge des sports, tient à réagir et à rappeler sa position.
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Sept mois plus tard, " aucun regret ", assure Louise Pahun.
« Nous sommes fiers que les jeux aient lieu en France. Nous avons besoin de grands événements sportifs d’excellence qui tonifient le lien social. Les JO populaires oui. Les dérives, non. Et la flamme en est une ».
Selon la vice-présidente du conseil départemental, « la flamme est un produit détenu par le Comité international olympique, vendu 450 000 € par jour. Chaque département doit payer 180 000 €. Cela signifie que le reste à charge est pris en charge par les sponsors. Mais on suppose seulement, car tout ça, c’est le secret des affaires. [...] Presque un demi-million d’euros par jour pour un événement qui consiste à sortir la flamme de temps en temps »
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